STRASBOURG À VÉLO reprend ses podcasts après une petite pause. (2 ans quand même, la pause a été trop longue). Nous avons donc le plaisir de vous retrouver pour une nouvelle série de podcasts où nous retrouvons, pour parler à battons rompus, de notre sujet préféré : le vélo à Strasbourg et dans sa métropole.
Avec Somhack, Emmanuel, Franck et Jean, nous passons en revue les dernières actions de Strasbourg à vélo, l’actualité du vélo à Strasbourg et dans l’EMS et bien d’autres sujets que nous laissons le loisir de découvrir en écoutant ce nouvel épisode.
Bonne écoute. Et n’oubliez pas d’adhérer à Strasbourg à vélo !
Restez à l’écoute via votre application de podcasts préférée, les deux prochains épisodes d’été sont déjà dans la boîte de montage. Si vous avez des remarques ou des questions, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire ou nous envoyer un courriel à notre adresse de contact.
Vous dites que votre politique n’est pas sécuritaire. Mais en vérité, c’est votre sujet de prédilection : en 40 minutes, vous en faites mention 20 fois. En moyenne, ça fait deux fois par minute :
En toute sécurité / Sécurise / Trop dangereux / Sécurité / Sécuriser / Sécurisé / En sécurité / En danger / Accidentogène / Sécurité / Sécurité / Accidentogène / Danger / Danger mortel / Sécurité / Sécurisé / En toute sécurité / En sécurité /Sécuriser / Dangereux.
S’il y a un « grand, grand, grand perdant », ce n’est pas le cycliste comme vous le dites, mais bien le piéton. Vous avez raison, une « comptabilité très lucide » est à faire. Par exemple, calculer la surface des routes qui ont été installées sur les trottoirs : c’est considérable. Puis calculer la surface restante aux piétons : c’est peau de chagrin. Cela semble vous satisfaire. Hâte que vous fassiez un podcast sur ce sujet !
De plus, vous justifiez le fait de rouler sur le trottoir, avec votre argument préféré : « pour se mettre en sécurité ». Utiliser un sentiment d’insécurité pour enfreindre la réglementation est, je crois, irrespectueux voire malhonnête.
Quant aux voitures, elles ont eu gain de cause puisqu’elles ne sont plus « emmerdées », comme vous dites, par les cyclistes qui ont déserté les routes parce qu’ils ont la trouille.